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Le Maroc cofonde le partenariat Future of Investment and Trade (FIT)
Le Maroc vient d’officialiser son adhésion au nouveau partenariat international Future of Investment and Trade (FIT), une initiative regroupant quatorze pays désireux de dynamiser les échanges commerciaux et d’accroître les flux d’investissements à l’échelle mondiale. L’annonce a été faite mardi 16 septembre par le ministre néo-zélandais du commerce et de l’investissement, Todd McClay, à l’issue d’une déclaration commune des membres fondateurs.
Aux côtés du Maroc, figurent notamment la Nouvelle-Zélande, Singapour, les Émirats arabes unis et la Suisse, qui ont initié ce projet. D’autres pays comme le Brunei, le Costa Rica, l’Islande, le Liechtenstein, la Norvège, le Panama, le Paraguay, le Rwanda et l’Uruguay font également partie de ce noyau fondateur.
Un projet né d’une année de négociations diplomatiques
D’après le communiqué publié à cette occasion, les premières discussions autour de la création du FIT ont débuté il y a douze mois, sous l’impulsion des quatre États fondateurs. Un accord formel a finalement été scellé lors d’une réunion ministérielle quadripartite organisée en Suisse en mai dernier.
« Nous sommes un groupe de nations petites et moyennes, tributaires du commerce, déterminées à ouvrir de nouveaux marchés, attirer davantage d’investissements et lever les obstacles existants », a déclaré Todd McClay.
Des objectifs économiques ciblés et concrets
Selon le ministre néo-zélandais, le partenariat s’attachera à mettre en œuvre des actions concrètes visant à :
- renforcer la résilience des chaînes d’approvisionnement,
- réduire les barrières non tarifaires,
- faciliter les flux d’investissements,
- et exploiter les technologies émergentes liées au commerce.
Pour lui, la participation de la Nouvelle-Zélande en tant que membre fondateur offrira de nouvelles perspectives aux exportateurs et investisseurs, tout en tissant des liens économiques plus étroits entre les pays membres.
Une ambition tournée vers la croissance mondiale
Todd McClay a rappelé qu’« un emploi sur quatre en Nouvelle-Zélande dépend du commerce », soulignant ainsi l’importance stratégique de cette initiative. L’objectif affiché de son gouvernement est de doubler la valeur des exportations au cours de la prochaine décennie, un cap que ce partenariat pourrait aider à atteindre.
En rejoignant ce cadre innovant, le Maroc entend affirmer sa place comme acteur économique dynamique, prêt à saisir les nouvelles opportunités du commerce international et à attirer des investissements étrangers dans des secteurs clés de son économie.