-
22:04
-
21:46
-
21:30
-
21:09
-
20:46
-
20:30
-
20:02
-
19:45
-
19:34
-
19:10
-
19:02
-
18:46
-
18:34
-
18:08
-
18:00
-
17:41
-
17:27
-
17:11
-
16:48
-
16:33
-
16:30
-
16:18
-
16:12
-
16:11
-
16:06
-
16:04
-
15:46
-
15:37
-
15:30
-
15:06
-
15:05
-
14:56
-
14:46
-
14:38
-
14:35
-
14:22
-
14:15
-
14:00
-
13:46
-
13:43
-
13:35
-
13:00
-
12:45
-
12:34
-
12:04
-
12:00
-
11:46
-
11:46
-
11:26
-
11:15
-
11:00
-
10:45
-
10:34
-
10:30
-
10:01
-
10:00
-
09:45
-
09:34
-
09:20
-
09:15
-
09:00
-
08:59
-
08:37
-
08:17
-
08:12
-
08:00
-
07:30
-
07:28
-
07:20
-
07:10
Suivez-nous sur Facebook
Revolut s’intéresse au Maroc : Bank Al-Maghrib fixe ses conditions
Présente dans plusieurs pays à travers le monde, la banque digitale britannique Revolut a manifesté son intérêt pour le marché marocain. En juin dernier, ses représentants avaient été reçus par la Direction générale de Bank Al-Maghrib (BAM), a indiqué le Wali Abdellatif Jouahri lors du point de presse qui a suivi la 3ᵉ réunion trimestrielle de 2025 du Conseil de BAM.
Selon lui, le Conseil d’administration de Revolut envisage de se rendre à Rabat en octobre prochain afin de présenter plus en détail ses projets et ambitions pour le Royaume.
M. Jouahri a tenu à rappeler que l’octroi d’un agrément bancaire repose sur plusieurs critères : le projet industriel, la valeur ajoutée pour l’économie nationale, l’expérience des fondateurs et le respect de l’équilibre global du marché.
« Nous ne pouvons pas permettre à un nouvel acteur de déstabiliser le marché », a-t-il souligné, tout en précisant que, dans plusieurs pays, Revolut n’a obtenu qu’un agrément limité à certaines activités. Bank Al-Maghrib pourrait ainsi adopter une approche similaire, en l’adaptant aux spécificités locales.
Les échanges entre BAM et Revolut ont notamment porté sur le fonctionnement du système financier marocain, la réglementation nationale en matière d’agrément par rapport aux standards internationaux, ainsi que sur les mécanismes de lutte contre le blanchiment d’argent.
« Lorsqu’un opérateur sollicite un agrément, nous examinons son projet, sa technicité et son apport pour l’économie nationale, tout en se penchant sur le profil des fondateurs », a conclu le Wali de BAM.