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Ukraine : l’Allemagne pousse pour la Russie à la table des négociations
Le chancelier allemand Friedrich Merz a réaffirmé lundi l’importance de faire participer la Russie aux négociations pour un plan de paix en Ukraine, à la suite de pourparlers tenus dimanche à Genève. Ces discussions, réunissant des représentants ukrainiens, américains et européens, ont été organisées dans l’urgence autour du projet de plan en 28 points présenté par l’ancien président américain Donald Trump, jugé favorable à Moscou.
Si le chancelier allemand estime peu probable une percée diplomatique immédiate, il insiste sur la nécessité de la présence russe à la table des négociations. À Luanda, en marge du sommet UE-Union africaine, les alliés européens de Kiev ont exprimé un discours similaire, soulignant les « progrès » réalisés mais rappelant qu’« il reste encore du travail à faire ».
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a reconnu lundi les avancées enregistrées à Genève, notamment sur la libération des prisonniers et le retour des enfants enlevés par la Russie, mais a souligné qu’il fallait « beaucoup plus » pour atteindre une paix durable. Il a décrit la situation comme un « moment critique » pour son pays, confronté à des attaques quasi quotidiennes des forces russes ciblant infrastructures et villes ukrainiennes.
Le président américain, Donald Trump, a exprimé son optimisme sur les réseaux sociaux, tandis que son secrétaire d’État, Marco Rubio, a jugé que les points restant en suspens étaient « loin d’être insurmontables ». De son côté, Vladimir Poutine a indiqué à son homologue turc Recep Tayyip Erdogan que le plan américain pourrait « servir de base à un règlement final ».
Sur le terrain, la pression militaire russe se poursuit. Moscou a revendiqué la prise d’un village dans la région de Zaporijjia et des frappes aériennes ont fait au moins quatre morts à Kharkiv. Face à cette escalade, les discussions diplomatiques sont plus que jamais cruciales pour éviter un nouvel hiver meurtrier en Ukraine.