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Zelensky veut convaincre Trump d’imposer de nouvelles sanctions à la Russie
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a indiqué mercredi, lors d’un déplacement à Copenhague, qu’il comptait discuter jeudi avec le président américain Donald Trump de nouvelles sanctions contre la Russie. « Demain, nous essaierons de joindre le président Trump et nous en parlerons », a déclaré M. Zelensky, qui doit se rendre à Paris pour une réunion de la Coalition des volontaires, un ensemble de pays soutenant militairement l’Ukraine.
Lors de sa visite à la Maison Blanche le 18 août dernier, accompagné de plusieurs dirigeants européens, le président ukrainien avait demandé à Donald Trump d’imposer des sanctions et de faire pression sur Vladimir Poutine si celui-ci refusait de s’engager dans des négociations. « Il a dit qu’il répondrait dans quelques semaines. D’après ce que je comprends, il s’agit de deux semaines ou au maximum trois semaines. Les deux semaines se terminent demain », a expliqué Zelensky.
La Commission européenne a pour sa part annoncé la semaine dernière qu’elle préparait un 19ᵉ paquet de sanctions contre Moscou. Les Européens doivent se réunir jeudi à Paris, en présentiel et par visioconférence, afin d’afficher leur disponibilité à fournir des garanties de sécurité à l’Ukraine. Ils attendent désormais un signal concret des États-Unis, selon la présidence française.
« Nous disposons d’une base solide sous la forme d’accords bilatéraux, notamment avec le Danemark, et nous partageons l’avis selon lequel la sécurité future de l’Ukraine nécessite une disposition de type article 5 », a précisé M. Zelensky, en référence au principe de défense mutuelle inscrit dans le traité de l’Otan.
Le 18 août, Donald Trump avait assuré que les États-Unis seraient aux côtés des Européens dans le cadre des garanties de sécurité envisagées pour l’Ukraine, censées entrer en vigueur après un cessez-le-feu ou un accord de paix. « Nous avons également reçu des signaux des États-Unis indiquant qu’ils apporteront un +backstop+, ce qui est important », a ajouté le président ukrainien, évoquant un filet de sécurité dont les contours restent encore à définir.