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La lutte contre la violence basée sur le genre facilitée par la technologie : Une avancée majeur
La violence basée sur le genre facilitée par la technologie (VBGFT) est devenue l’une des principales préoccupations des associations de défense des droits des femmes. Parmi elles, l’association « Kif mama Kif baba » a récemment salué une initiative majeure adoptée par le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies pour lutter contre ce fléau.
Dans un communiqué, l’association, reconnue pour son engagement et ses principes d’équité, a exprimé sa satisfaction : « Le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies a adopté, lors de sa 56e session tenue le 11 juillet 2024, une résolution significative visant à combattre la VBGFT. Cette décision, soutenue par plus de 50 pays, marque une étape cruciale dans la lutte contre les nouvelles formes de violence amplifiées par les moyens technologiques, qui touchent un nombre croissant de femmes, de jeunes et de personnes de diverses identités de genre. »
L’association « Kif Mama Kif Baba » a qualifié cette initiative de « progrès majeur » dans la protection des droits des femmes et des minorités de genre à l’échelle mondiale. Elle a souligné l’importance de cette résolution, en particulier dans un contexte où les agressions en ligne et la censure numérique deviennent des outils de répression et de discrimination.
Cette résolution, initiée par un groupe de pays comprenant la Belgique, l’Albanie, la Bolivie, le Kazakhstan, le Kirghizistan et le Maroc, appelle à une étude approfondie sur la VBGFT. Elle vise également à formuler des recommandations et des bonnes pratiques pour lutter contre ce phénomène. Le texte adopté invite tous les États, y compris ceux qui n’ont pas encore soutenu la résolution, à coopérer étroitement avec le Comité consultatif du Conseil des droits de l’homme, ainsi qu’avec la société civile et d’autres parties prenantes.
Cette initiative reflète l’engagement de la communauté internationale à mettre en œuvre des mesures concrètes pour protéger les individus contre les abus technologiques et à promouvoir une société numérique plus sûre et inclusive. Les groupes de défense des droits humains et des droits des femmes de six pays ont exprimé leur soutien à cette résolution, soulignant l’importance d’une action collective des États et du secteur privé pour aborder ces défis contemporains.
Alors que les agressions numériques continuent de croître, le renforcement des mécanismes de protection et d’éducation pour garantir que les technologies servent à promouvoir l’égalité et la dignité pour tous est devenu plus urgent que jamais. La résolution adoptée par le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies constitue un cadre de référence pour les futures actions internationales et nationales dans ce domaine.
L’association « Kif Mama Kif Baba » et d’autres organisations de défense des droits des femmes continuent de plaider pour des mesures plus strictes et des politiques plus inclusives afin de protéger les victimes de la VBGFT. Cette résolution marque un pas en avant significatif dans la lutte contre la violence basée sur le genre, mais il reste encore beaucoup à faire pour garantir un environnement numérique sûr et équitable pour tous.