- 16:00Netanyahu face à une arrestation en Irlande : Simon Harris s’exprime sans détour
- 15:32Procès Saïd Naciri et Abdenbi Bioui : report dans l'affaire "Escobar du désert"
- 15:29Al-Nassr persiste pour recruter Youssef En-Nesyri : une offre revue à la hausse
- 14:52Le président Chinois quitte le Maroc après une visite diplomatique éclair
- 14:48Sahara marocain : les États-Unis confirment leur appui à l'initiative marocaine d'autonomie
- 14:44L'importation de bovins et d’ovins au Maroc : un effort coûteux pour soutenir le pouvoir d’achat face à la sécheresse
- 14:41La Chine étend le séjour sans visa à 30 jours pour les marocains
- 14:36L’huile d’olive sous pression : le Maroc assouplit ses règles d’importation pour freiner la hausse des prix
- 14:32Les carrières de sable au Maroc : entre opportunités économiques et défis environnementaux
Suivez-nous sur Facebook
CIRDI : Le litige Al Amoudi-Maroc clos, l'heure du jugement approche
Une étape importante a été franchie dans le différend opposant le groupe Corral Morocco Holding, dirigé par l'homme d'affaires Hussein Al Amoudi, à l'État marocain. Le Centre international pour le règlement des différends relatifs à l'investissement (CIRDI) a en effet officialisé la clôture de la procédure arbitrale le 18 juin dernier.
Saisi en octobre 2018 par Corral Morocco Holding, actionnaire majoritaire de la Samir, le CIRDI avait été chargé d'examiner les griefs formulés par la société suédoise à l'encontre du Maroc. Al Amoudi accusait l'État marocain d'avoir violé les protections accordées à son investissement en vertu d'un traité bilatéral conclu en 1990 entre la Suède et le Maroc.
La clôture de la procédure, telle que définie par l'article 38 du Règlement d'arbitrage du CIRDI, marque l'achèvement de la présentation des arguments par les parties prenantes. L'affaire est désormais "en état d'être jugée", selon les experts, et entre dans sa phase finale.
Corral Morocco Holding réclame à l'État marocain des dommages et intérêts considérables, estimés à plus de vingt milliards de dirhams. Ces griefs concernent notamment la Samir, raffinerie privatisée en 1997 par le groupe et placée depuis en liquidation judiciaire.
Le tribunal arbitral du CIRDI va désormais se consacrer à l'analyse des arguments et des preuves présentés par les parties. Son verdict final, attendu dans les prochains mois, tranchera le différend et déterminera les responsabilités et les réparations éventuelles.