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Des propos attribués à Agüero déclenchent une controverse autour de Lamine Yamal
L’ancien attaquant argentin Sergio Agüero se retrouve au centre d’une vive controverse après des propos supposés à caractère raciste visant Mounir Nasraoui, père de la pépite du FC Barcelone et de l’équipe nationale espagnole, Lamine Yamal. L’affaire, née d’un échange en ligne dont l’authenticité reste à confirmer, agite depuis plusieurs heures les réseaux sociaux.
L’incident aurait éclaté à la suite de la cérémonie du Ballon d’Or 2025, où Lamine Yamal a terminé à la deuxième place, derrière le Français Ousmane Dembélé. Estimant que son fils aurait dû être sacré, Mounir Nasraoui aurait dénoncé un « préjudice moral » et mis en cause la transparence du vote.
Dans une réaction attribuée à Agüero, l’ex-joueur du FC Barcelone aurait qualifié le père de Yamal de « voyou de bas étage ». La dispute aurait alors pris une tournure plus virulente : Nasraoui rétorquant sur un ton moqueur que l’Argentin devrait « vérifier que son cœur fonctionne correctement », en référence aux soucis cardiaques qui ont mis fin à sa carrière.
Mais c’est surtout une phrase prêtée à Agüero qui suscite l’indignation : « Ferme-la, Marocain — si ce n’était pas pour ton fils, tu vendrais des chaussettes dans la rue. » Une attaque perçue comme ouvertement raciste, qui a déclenché une vague de condamnations en ligne.
Pour l’heure, ni Agüero ni Nasraoui n’ont confirmé ni démenti ces propos. Aucune réaction officielle n’a été publiée par les clubs concernés, ni par les instances sportives. Cette absence de clarification alimente le climat de suspicion et le débat sur la responsabilité publique des figures du football dans leurs prises de parole.
Au-delà du cas personnel, cette affaire illustre une fois encore la puissance des réseaux sociaux dans la propagation d’échanges polémiques, et la difficulté à démêler le vrai du faux dans une sphère numérique où l’image des stars peut basculer en quelques heures.