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La Chambre des conseillers renforce ses liens avec trois parlements africains
La Chambre des conseillers a franchi une nouvelle étape dans le renforcement de la coopération parlementaire africaine en signant, vendredi à Laâyoune, trois accords de partenariat avec la Guinée équatoriale, le Royaume d’Eswatini et l’Union des Comores. Ces signatures se sont déroulées en marge des travaux du Réseau des parlementaires africains pour l’évaluation du développement (APNODE).
Selon un communiqué officiel, les accords ont été paraphés par le président de la Chambre des conseillers, Mohamed Ould Errachid, et ses homologues Salomon Nguema Owono, Lindiwe Dlamini et Abdou Moustadroine. Ces mémorandums d’entente visent à établir « un cadre méthodique de dialogue parlementaire et d’échange d’expériences » afin de renforcer les relations entre ces institutions africaines.
Un cadre institutionnel structuré
Les accords définissent un cadre de coopération couvrant plusieurs domaines, notamment le soutien législatif, l’appui technique et la mise en œuvre de programmes communs. Les assemblées partenaires prévoient notamment l’organisation de formations, de visites d’étude, d’échanges administratifs et de rencontres thématiques rassemblant élus et cadres administratifs.
Le communiqué souligne également que des actions conjointes seront développées pour les parlementaires et les cadres administratifs, incluant ateliers, forums, séminaires et programmes de perfectionnement. Ces initiatives seront mises en œuvre par les structures permanentes des assemblées concernées, telles que les groupes d’amitié parlementaire, les commissions spécialisées ainsi que les unions parlementaires régionales, continentales et internationales.
Enfin, les trois institutions réaffirment leur engagement à « assurer l’application effective des activités de coopération à travers leurs structures administratives et législatives permanentes », en conformité avec leurs cadres juridiques respectifs.
Cet effort de coopération s’inscrit dans une dynamique plus large visant à renforcer le dialogue parlementaire africain et à promouvoir l’échange d’expertises pour un développement harmonieux et partagé entre les pays du continent.