-
20:09
-
20:00
-
19:32
-
19:11
-
18:46
-
18:30
-
18:00
-
17:30
-
17:17
-
17:12
-
17:00
-
16:40
-
16:32
-
16:17
-
16:07
-
16:00
-
15:55
-
15:35
-
15:30
-
15:21
-
15:00
-
14:58
-
14:51
-
14:32
-
14:09
-
14:00
-
13:45
-
13:40
-
13:28
-
13:00
-
12:40
-
12:39
-
12:37
-
12:18
-
12:00
-
11:40
-
11:32
-
11:00
-
10:40
-
10:37
-
10:20
-
10:12
-
10:00
-
09:53
-
09:40
-
09:26
-
09:25
-
09:15
-
09:01
-
09:00
-
08:59
-
08:55
-
08:52
-
08:40
-
08:30
-
08:29
-
08:18
-
08:00
-
07:59
-
07:53
-
07:40
-
07:30
-
07:19
-
07:13
-
07:03
-
06:57
Suivez-nous sur Facebook
Programme nucléaire : l’Iran et l’Europe reprennent les négociations
Le ministère iranien des Affaires étrangères a annoncé vendredi la reprise des négociations sur le programme nucléaire iranien. Une réunion est prévue mardi prochain, avec la participation de plusieurs pays européens, dont la France, le Royaume-Uni et l’Allemagne, ainsi que des représentants de l’Union européenne.
« Il a été convenu que les négociations entre l’Iran et les trois pays européens et l’Union européenne se poursuivraient mardi prochain au niveau des vice-ministres des Affaires étrangères », a précisé le ministère iranien dans un communiqué, à la suite d’un entretien téléphonique entre Abbas Araghchi, haut diplomate iranien, et plusieurs responsables européens.
Cette annonce a été confirmée par le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, qui a souligné sur le réseau X que « le temps presse » pour trouver une solution négociée sur le programme nucléaire iranien. Il a également indiqué avoir tenu un échange conjoint avec ses homologues européens, David Lammy, Johann Wadephul et Kaja Kallas, au sujet du nucléaire iranien et de la réactivation possible de sanctions contre Téhéran.
Ces discussions s’inscrivent dans un contexte de tensions persistantes, marqué par la crainte d’une accélération du programme nucléaire iranien et par la pression croissante des chancelleries occidentales pour relancer un cadre de négociation crédible. Reste à savoir si cette nouvelle étape permettra de surmonter l’impasse diplomatique qui perdure depuis l’effondrement de l’accord de Vienne en 2018.