Ils ont assisté à la poignée de main historique sur leurs écrans, et beaucoup ont applaudi. Pour autant, les Sud-Coréens se veulent prudent. Depuis l'armistice de 1953, bien souvent, ils ont eu de faux espoirs. Aujourd'hui, les symboles ne suffisent plus, ils attendent de juger sur pièces.
- 12:50Marco Rubio en visite en Amérique centrale pour promouvoir la politique "America First"
- 12:30Donia Batma retrouve sa liberté après sa peine de prison
- 12:00Début du mois de Chaâbane 1446 : confirmation officielle du calendrier lunaire
- 11:42Le Maroc et l'Union africaine : Réalisations et initiatives efficaces depuis 2017
- 11:30Pourquoi les éleveurs bradent-ils leurs moutons ?
- 11:05Casablanca : un dispositif de sécurité renforcé pour les festivités du Nouvel An
- 10:55Shanghai Carthane s'installe au Maroc : une expansion stratégique
- 10:40Trump nomme un directeur intérimaire après le tragique accident aérien près de Washington
- 10:35L’autoroute de l’eau entre les barrages Oued El-Makhazine et Dar Khrofa presque achevée
Suivez-nous sur Facebook
Sommet intercoréen : les réactions au sud
"Voir les deux dirigeants se rencontrer, c'est un peu comme si la réunification avait déjà eu lieu, confie Lee Sang-jung, un habitant de Séoul. Mais je suis aussi inquiet et je crains que nous soyons dupés. J'espère que cela aboutira à un résultat positif mais en même temps je suis préoccupé."
A Goyang, à une cinquantaine de kilomètres de la zone dite démilitarisée où le sommet s'est tenu, un groupe d'enthousiastes est venu poser devant la presse avec une banderole en faveur de la réunification.
Pour d'autres manifestants, une éventualité inenvisageable, après 65 ans de trajectoires aussi diamétralement opposées entre les deux Corées. Ce groupe manifestait dans la ville frontalière de Paju, appelant ni plus ni moins à rayer la Corée du nord de la carte.
Comme eux, une bonne partie des générations nées après le conflit - qui n'ont connu que la division et le climat de guerre froide - se contenteraient bien d'un statu quo apaisé.
Source : Euronews
Commentaires (0)