- 11:27Les 5 tendances technologiques à suivre en 2025 selon Capgemini
- 11:20Tanger : La meurtrière d’Anouar condamnée à 15 ans de prison, la famille déçue par le verdict
- 11:17Robert Lewandowski entre dans l'histoire de la Ligue des champions avec son 100e but
- 11:11Alliance des civilisations : "Sous la conduite de Sa Majesté le Roi, le Maroc ne s’est pas contenté de faire l’éloge du dialogue, il l’a incarné"
- 11:00Fnideq : Le gouvernement face à la migration irrégulière
- 10:59Le Maroc brille lors de la 122e session du conseil exécutif de l'ONU tourisme à Cartagena
- 10:56Sekkouri annonce des mesures pour soutenir les TPME et la création d’emplois au Maroc
- 10:49Soutien de la Banque mondiale à la gestion des déchets au Maroc
- 10:27CPS de l'UA : Le Maroc condamne fermement tout soutien aux mouvements séparatistes et terroristes
Suivez-nous sur Facebook
USA : 4,4 millions de chômeurs en une semaine
Quelque 4,4 millions d’américains se sont inscrits au chômage la semaine dernière, a annoncé jeudi le département du Travail.
Au total, ce sont pas moins de 26,4 millions de personnes qui ont perdu leurs emplois en cinq semaines depuis le début des mesures de confinement aux Etats-Unis, effaçant une baisse historique du taux de chômage juste avant le début des mesures de confinement dans le pays lorsqu’il était situé à 3,5%.
La montée fulgurante des inscriptions au chômage, couplée à une baisse record des prix du pétrole, ont poussé de nombreux gouverneurs républicains à militer pour un retour précoce à la normale, souvent allant à l’encontre des directives de la Maison Blanche pour contenir la propagation du COVID-19.
Les responsables de la santé publique ont averti que les États-Unis devaient maintenir les mesures de distanciation sociale pendant des mois avant que la vie sociale et commerciale ne puisse reprendre son cours normal.
Le président Trump et le Congrès ont promulgué une plan de sauvetage de l’économie massif de 2,2 billions de dollars, et le Sénat a adopté cette semaine une nouvelle aide de plus de 300 milliards de dollars aux petites et moyennes entreprises (PME) pour les inciter à maintenir leurs salariés.