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Infantino : « La Fifa ne peut pas résoudre les problèmes géopolitiques »
La Fifa a appelé jeudi à la « paix » à Gaza, tout en soulignant ses limites face aux enjeux géopolitiques. « La Fifa ne peut pas résoudre les problèmes géopolitiques, mais elle peut et doit promouvoir le football à travers le monde en exploitant ses valeurs unificatrices, éducatives, culturelles et humanitaires », a déclaré son président Gianni Infantino, à l’ouverture de la réunion du Conseil de l’instance à Zurich.
Le dirigeant italo-suisse a insisté sur « le pouvoir du football » à « réunir les gens dans un monde divisé » en offrant « un message de paix et d’unité ». Mais ni lui ni le communiqué de l’organisation n’ont mentionné Israël, alors que les appels se multiplient pour suspendre sa fédération, en pleine campagne de qualification pour le Mondial-2026.
Infantino a par ailleurs reçu au siège de la Fifa le président de la Fédération palestinienne de football (PFA), Jibril Rajoub, saluant sur Instagram la « résilience » de son interlocuteur, qui réclame depuis plusieurs semaines des sanctions contre Israël.
Plusieurs voix se sont récemment jointes à ces appels. Trois experts indépendants de l’ONU ont exhorté la Fifa et l’UEFA à suspendre Israël, estimant que « les instances sportives ne doivent pas fermer les yeux sur les graves violations des droits humains ». La fédération norvégienne, dont la sélection doit affronter Israël le 11 octobre, s’est également prononcée en faveur de sanctions, sa présidente jugeant que la même logique que celle appliquée à la Russie devrait prévaloir. Amnesty International a, elle aussi, demandé l’exclusion de la fédération israélienne, rappelant la situation à Gaza et dénonçant la présence de clubs israéliens en Cisjordanie occupée, en violation des statuts de la Fifa.
Pour l’heure, les procédures ouvertes à la demande de la PFA sur ces dossiers restent au point mort, certaines étant toujours confiées à des commissions internes de la Fifa.