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Vers un nouveau cycle de négociations entre Moscou et Kiev
La Russie s’est dite prête, ce lundi 21 juillet, à participer à un troisième cycle de négociations avec l’Ukraine, après deux tentatives infructueuses au printemps à Istanbul. Le Kremlin a toutefois averti qu’aucune date n’avait encore été arrêtée et que les positions des deux parties restaient profondément divergentes.
« Nous sommes pour la tenue d’un troisième cycle. Dès qu’une date sera fixée, nous vous en informerons », a déclaré Dmitri Peskov, porte-parole de la présidence russe, en soulignant que les propositions de paix russes et ukrainiennes sont à ce stade « diamétralement opposées ».
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait proposé, samedi, la reprise de discussions « cette semaine », appelant à relancer les efforts diplomatiques pour mettre fin à la guerre. Kiev exige notamment des garanties de sécurité et le retrait des forces russes, tandis que Moscou maintient ses exigences, dont l’annexion de cinq régions ukrainiennes et un engagement à ne jamais intégrer l’Otan.
Dans ce contexte de blocage, le président américain Donald Trump a haussé le ton. Il a donné à Moscou un ultimatum de 50 jours pour mettre fin à l’invasion, sous peine de sanctions renforcées. Il a également annoncé l’envoi prochain de matériel militaire à l’Ukraine, financé par des pays européens membres de l’Otan.
Sur le terrain, les combats se poursuivent, aggravant un peu plus chaque jour le bilan humain et matériel. L’Union européenne a par ailleurs annoncé un 18e paquet de sanctions visant notamment les revenus pétroliers russes.
Aya El Kerf