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Vladimir Poutine confirme un nouvel essai du drone sous-marin Poséidon
La Russie a annoncé avoir procédé à un nouvel essai de son drone sous-marin stratégique Poséidon, un appareil conçu pour transporter une charge nucléaire et opérer en profondeur à grande vitesse. L’annonce a été faite mercredi par le président russe Vladimir Poutine, quelques jours seulement après qu’il a évoqué le succès d’un test final du missile de croisière à propulsion nucléaire Bourevestnik.
Selon le chef du Kremlin, le Poséidon représenterait une avancée majeure dans la course technologique militaire. « Hier, nous avons effectué encore un essai d’un autre système prometteur – un drone sous-marin Poséidon », a déclaré Vladimir Poutine, assurant qu’« il n’existe aucun moyen de l’intercepter ».
Moscou affirme que le drone est à propulsion nucléaire, capable de parcourir de longues distances en plongée profonde, et qu’il peut être équipé d’une ogive nucléaire.
Les autorités russes présentent le Poséidon comme un outil de dissuasion, destiné à répondre à ce qu’elles qualifient de « pressions stratégiques » de la part des États-Unis et de l’OTAN. Une source citée par l’agence TASS avance que l’engin pourrait évoluer à plus d’un kilomètre de profondeur, à une vitesse estimée entre 60 et 70 nœuds, tout en restant difficile à détecter par les systèmes anti-sous-marins existants.
Ce drone sous-marin est destiné à être déployé notamment à bord du sous-marin nucléaire Belgorod, opérationnel depuis 2022 et spécialement modifié pour accueillir ce type d’armement.
Ces annonces interviennent dans un contexte de tensions persistantes entre Moscou et les pays occidentaux, sur fond de guerre en Ukraine et de rivalité stratégique. Pour plusieurs experts, la médiatisation de ces essais participe également à un message politique : rappeler que la Russie entend conserver une capacité de dissuasion avancée.