- 19:30JMSE 2025 : Le sport au cœur de l'entreprise à Bouskoura
- 19:00Washington au cœur des tensions commerciales : Rachel Reeves en mission diplomatique et économique
- 18:25 Le chanteur et compositeur Mohcine Jamal s'est éteint à l'âge de 77 ans
- 18:04Le SIAM 2025 met l’eau au centre des priorités agricoles au Maroc
- 17:40Le Maroc met en avant ses avancées sociales à la conférence arabe du travail
- 17:17Casablanca : Le nouveau terminal de l'aéroport Mohammed V, un projet ambitieux qui prend forme
- 16:32Énergies renouvelables : le Nigéria et le Maroc unissent leurs forces pour un projet d’investissement de 10 milliards de dollars
- 16:00Rabat forme les observateurs africains des élections
- 15:41 L’ACAPS lance un nouveau site web pour améliorer l’accès à l’information
Suivez-nous sur Facebook
Allemagne : l'accord en question
Nous savons que la ligne rouge absolue d'Angela Merkel était que la Bavière agisse unilatéralement et renvoie les migrants vers la frontière depuis ce land. Mais beaucoup soulignent que ces nouveaux centres de transit qu'elle a acceptés la nuit dernière avec Seehofer - qui se trouveront en Bavière, à la frontière avec l'Autriche, serviront le même objectif. Ils trieront les demandeurs d'asile entrant en Allemagne et renverront vers d'autres pays de l'Union européenne ceux dont les demandes auront été approuvées ailleurs ou expulseront ceux qui n'y ont pas droit vers leur pays d'origine.
Et le fait qu'il soit prévu d'installer ces centres en Bavière et nulle part ailleurs près des frontières du pays, semble montrer que c'était bien une affaire de politique régionale.
Il y a un autre parti au sein du gouvernement allemand, les sociaux-démocrates, on l'aurait presque oublié tant les conservateurs se sont querellés sur ce dossier. Et les sociaux-démocrates se réuniront avec les conservateurs ce soir pour en discuter. Le SPD soutenait jusque-là la ligne d'Angela Merkel sur les migrants, mais il est sceptique depuis longtemps sur cette idée de centres de transit. Est-ce que ce soir, il ira jusqu'à bloquer l'accord ? Cela reste à voir. Andrea Nahles, la chef de file des sociaux-démocrates, est consciente que personne ne souhaite de nouvelles élections, en particulier les sociaux-démocrates eux-mêmes, qui sont à leur plus bas historique dans les sondages."
Source : Euronews
Commentaires (0)