- 15:00 Finéa lance deux solutions de financement innovantes pour soutenir les TPME
- 14:30Le séquençage de l’exome entier désormais disponible au Maroc : un pas de plus vers la médecine de précision
- 14:00Nexans ouvre son capital aux salariés
- 13:38 À Meknès, l’eau au cœur des engagements gouvernementaux pour une agriculture résiliente
- 13:13Tanger face à la crise des rendez-vous médicaux : les députés interpellent le gouvernement
- 12:30Hommage solennel : les drapeaux américains en berne après la mort du pape François
- 11:41Maroc : un plan de 28 milliards de dirhams pour métamorphoser ses aéroports d’ici 2030
- 11:15Casablanca : Saisie de plus de 1500 comprimés de drogue lors d’une arrestation à Ain Sebaâ
- 10:44Al Barid Bank et Zalar Holding scellent un partenariat pour l’inclusion financière des agriculteurs
Suivez-nous sur Facebook
L'Iran dément toute implication dans un complot contre Donald Trump
L'Iran a fermement démenti mercredi les informations relayées par plusieurs médias américains selon lesquelles Téhéran fomentait un complot contre l'ancien président américain, Donald Trump. Les autorités iraniennes ont qualifié ces accusations de "malveillantes" et "infondées".
Selon la chaîne américaine CNN, les autorités américaines avaient reçu il y a quelques semaines des renseignements indiquant que l'Iran était impliqué dans une tentative d'assassinat de Donald Trump. Cette information a eu pour effet de renforcer la protection de l'ancien président. D'autres médias américains ont également fait état de ce complot.
Cependant, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanani, a déclaré que la République islamique "rejetait fermement toute implication dans la récente attaque armée contre Trump". Il a ajouté que l'Iran restait "déterminé à poursuivre Trump pour son rôle direct dans l'assassinat du général Qassem Soleimani".
Qassem Soleimani, commandant des Gardiens de la révolution, l'armée idéologique de la République islamique, avait été tué par une attaque de drone américaine à Bagdad, en Irak, en 2020, lorsque Donald Trump était président. Soleimani était à la tête de la Force Qods, la branche des opérations extérieures de l'Iran et l'unité d'élite des Gardiens de la révolution, qui supervisait les opérations militaires iraniennes au Moyen-Orient.
Le Conseil national de sécurité des États-Unis a déclaré qu'il "suivait depuis des années les menaces iraniennes contre d'anciens responsables de l'administration Trump". Cependant, la mission de l'Iran auprès des Nations unies a jugé ces accusations "infondées" et "malveillantes".
Cette affaire intervient dans un contexte de tensions entre l'Iran et les États-Unis, notamment en raison de la question nucléaire iranienne et de la présence militaire américaine dans la région du Golfe. Les deux pays n'entretiennent pas de relations diplomatiques depuis 1980.
Enfin, l'Iran a fermement démenti toute implication dans un complot contre l'ancien président américain, Donald Trump. Les autorités iraniennes ont qualifié ces accusations de "malveillantes" et "infondées", et ont réaffirmé leur détermination à poursuivre Trump pour son rôle dans l'assassinat du général Qassem Soleimani. Cette affaire intervient dans un contexte de tensions entre l'Iran et les États-Unis, notamment en raison de la question nucléaire iranienne et de la présence militaire américaine dans la région du Golfe.
Commentaires (0)