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Séisme de magnitude 6,6 au large de la Papouasie-Nouvelle-Guinée
Un tremblement de terre de magnitude 6,6 a été enregistré mardi 20 mai 2025 au large de la côte nord de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, selon l’Institut géologique américain (US Geological Survey). L’épicentre du séisme a été localisé à environ 117 kilomètres au large de la ville d’Angoram, à une profondeur de 52,7 kilomètres.
Malgré la puissance du séisme, l’agence américaine d’alerte aux tsunamis a rapidement rassuré les populations : l’événement ne présente « aucune menace de tsunami ». Aucun ordre d’évacuation n’a été émis, et aucun dégât majeur n’a pour l’instant été signalé.
La Papouasie-Nouvelle-Guinée est située sur la fameuse « ceinture de feu » du Pacifique, une zone de forte activité tectonique où les séismes et les éruptions volcaniques sont fréquents. Cette région du monde, qui s’étend de l’Asie du Sud-Est jusqu’aux côtes de l’Amérique du Sud, est responsable d’environ 90 % des séismes mondiaux.
Bien que la région soit habituée à ce type de secousses, les risques liés aux mouvements de terrain restent élevés, notamment dans les zones rurales et montagneuses. Les tremblements de terre, même de faible intensité, peuvent entraîner des glissements de terrain destructeurs, en particulier lorsque les sols sont fragilisés par de fortes pluies.
Les autorités locales et les services de secours restent en alerte, prêts à intervenir en cas de répliques ou de dommages secondaires. Le séisme de mardi rappelle une fois de plus la vulnérabilité de cette région du globe face aux forces imprévisibles de la nature, et souligne l’importance des dispositifs de surveillance et de prévention en matière de risques sismiques.
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